La libération de l'homme, et, finalement, sa liberté passent-elles forcément par la connaissance des déterminismes ? La passion amoureuse renferme-t-elle nécessairement de l'amour ? La critique des systèmes philosophiques entraîne-t-elle la ruine de l'idée de système ? Tout ce qui est systématique est-il de ce fait rationnel ? Une religion peut-elle avoir la même fonction que la philosophie. Un homme privé de ses droits de citoyen est-il encore un homme libre ? L'histoire a-t-elle pour objet l'inactuel ? Les sciences humaines permettent-elles de connaître l'homme ? La conscience est-elle source d'illusions ? La loi constitue-t-elle, pour la liberté, un obstacle ou une condition ? Le pouvoir est-il identique à travers toutes ses formes ? La cohérence de la pensée suffit-elle à définir la vérité ? La réflexion sur l'homme est-elle toute la philosophie ? La religion peut-elle se définir par sa fonction sociale ? Faut-il souhaiter que la politique soit une science ? Le travail est-il le lien le plus étroit entre l'homme et la réalité ? La connaissance scientifique peut-elle seule atteindre la vérité ? L'ambiguité des mots peut-elle être heureuse ? Le hasard peut-il bien faire les choses ? Suis-je le mieux placé pour savoir ce que je suis ? La satisfaction des besoins économiques est-elle un obstacle à la défense des valeurs morales ? Est-il essentiel à la philosophie d'être systématique ? Est-il possible de connaître une société en ignorant sa langue ? Communiquer, est-ce essentiellement transmettre des informations ? Pourquoi la philosophie pose-t-elle la question : « Qu'est-ce que l'homme ? Si la connaissance de soi est utopique, devons-nous pour autant y renoncer? Faut-il opposer la durée vécue et le temps des choses ? Sciences et philosophie : comment concevez-vous leurs rapports ? Est-il juste de refuser l'abstraction au nom du vécu ? Mais on a dit aussi que les mathématiques nous amenaient à des notions parfaites. Compter sur autrui, compter avec autrui. Peut-on dire que la perception est une connaissance? Comment distinguez-vous un jugement d'un préjugé ? Une activité inutile est-elle pour autant sans valeur ? La raison est-elle génératrice de violence ? Pourquoi avons-nous tant de peine à accepter qu'autrui soit différent de nous ? La force et la violence ont-ils même origine et même but ? L'homme maîtrise-t-il le développement de la technique ? La sensibilité aux oeuvres d'art demande-t-elle à être éduquée ? A chacun sa vérité. Le droit à la différence est-il sans limite ? Qu'est-ce que la compétence en matière politique ? Faut-il dire avec Voltaire que « la liberté consiste à ne dépendre que des lois » ? « La science physique a trouvé dans les mathématiques un langage qui se détache sans difficulté de sa base expérimentale et qui, pour ainsi dire, pense tout seul. Qu'est-ce qui distingue la croyance religieuse des autres croyances ? Le gouvernement par le peuple signifie-t-il nécessairement la liberté ? Suffit-il d'être indépendant pour être libre ? L'art peut-il se comprendre comme une conversion des passions ? L'Etat est-il garant de la liberté de l'individu ? Pour goûter une oeuvre d'art, faut-il être cultivé ? Quelle valeur conférer à l'opinion vraie ? L'idée de pauvreté se réduit-elle à une catégorie économique ? A défaut de certitude, une science du probable peut-elle suffire ? L'homme peut-il connaître l'avenir de l'homme ? « La parole est l'excès de notre existence sur l'être naturel ». La succession des théories scientifiques permet-elle de concevoir le progrès de la science comme une marche continue vers le vrai ? Quelle idée de l'homme suppose la constitution des sciences humaines ? Peut-on juger la culture à laquelle on appartient ? Nous avons été enfants avant que d'être hommes
» : Quelles conséquences ? Peut-on philosopher sans lire les philosophes ? La recherche du bonheur vous paraît-elle constituer un fondement valable de la vie morale ? L'expression « perdre sa liberté » a-t-elle un sens ? La conscience est-elle source de liberté ou de contrainte ? En quel sens peut-on parler de l'Ironie de l'Histoire ? Suffit-il, pour être soi-même, d'être différent des autres ? Dans quelle mesure peut-on parler de révolution scientifique ? La référence aux « contraintes économiques » est-elle, dans le gouvernement des hommes, autre chose qu'un alibi ? Faut-il attendre de la science qu'elle nous rassure ? Défendre ses droits, est-ce la même chose que défendre ses intérêts ? En quoi le sentiment esthétique se distingue-t-il du sentiment religieux ? L'ancien et le nouveau sont-ils en opposition ? Quelles compétences faut-il avoir pour apprécier une oeuvre d'art ? En quel sens l'artiste peut-il être considéré comme un témoin de son temps ? Peut-on dire que la liberté est d'abord la reconnaissance de la nécessité ? Y a-t-il contradiction entre être libre et être soumis aux lois ? La punition est-elle la forme légale de la vengeance ? Pourquoi peut-on critiquer une morale établie ? Les événements historiques sont-ils, par nature, imprévisibles ? L'art permet-il de mieux connaître la réalité ? Est-ce le recours à l'expérience qui garantit le caractère scientifique d'une théorie ? Faut-il reprocher à la philosophie d'être inutile ? Puis-je invoquer le cours de l'histoire pour m'excuser de n'avoir pas agi ? Que nous apprennent les beautés de la nature sur la nature même de la beauté ? Faire son devoir sans être heureux, est-ce toute la morale ? Quâest-ce que la résonance selon lâauteur connu pour les ouvrages Accélération. Le pouvoir politique a-t-il pour fonction d'assurer l'ordre ? Pour cela, inscrivez-vous, ou connectez-vous. Définir l'homme comme « travailleur » vous paraît-il suffisant ? Expliquez et, éventuellement, discutez la formule : « je ne crois que ce que je vois ». Faire un enfant, écrire un livre, planter un arbre, ça me va bien dans l'esprit : on transmet ses gènes, on transmet son expérience, on améliore son écosystème. La liberté n'est-elle que l'ensemble des droits ? La vie en société n'a-t-elle pour fondement que la complémentarité des besoins ? Que pensez-vous de cette affirmation d'un auteur contemporain : « Un aliéné est un homme que la société n'a pas voulu entendre et qu'elle a voulu empêcher d'émettre d'insupportables vérités » ? Le principe d'égalité exige-t-il d'abolir toutes les différences existant entre les hommes ? Affirmer des droits de l'homme universels, est-ce méconnaître la diversité des cultures ? La question « qu'est-ce que l'homme ? Que faut-il entendre par « vérité objective » ? Puis-je être libre si les autres ne le sont pas ? En quel sens peut-on parler de vérité à propos de l'oeuvre d'art ? Avons-nous quelque chose à apprendre de nos erreurs ? La laideur peut-elle faire l'objet d'une représentation esthétique ? ». Oublier, est-ce la condition de la vie humaine ? Le droit ne fait-il que traduire un rapport de forces ? Y a-t-il plusieurs genres de connaissance ? La violence est-elle toujours destructrice ? En quel sens est-il juste de dire que l'on ne possède vraiment que ce que l'on comprend ? Le développement de la science et de la technique entraîne-t-il nécessairement la disparition de toutes les croyances irrationnelles ? Pourquoi seul un être pourvu de raison peut-il avoir des passions ? Les méchants peuvent-ils être véritablement heureux ? Le plaisir du citoyen, y inscririez-vous le droit au bonheur? Pourquoi cherche-t-on à connaître le vrai ? Pourquoi dit-on de certains jugements - ou décisions - qu'ils sont « arbitraires » ? L'idée d'une contre-nature se justifie-t-elle ? Le travail est-il nécessairement aliénant pour l'homme ? L'oubli n'est-il pas un phénomène plus énigmatique que la mémoire ? Tous les plaisirs sont-ils au fond de même nature ? Est-ce au même titre que l'on parle de sciences de la nature et de sciences de l'homme ? Démontre-t-on pour convaincre ou pour établir une vérité ? Pourquoi applique-t-on le terme de « création » à l'activité artistique ? La liberté de chacun est-elle menacée par celui qui enfreint la loi ? Faut-il selon vous vivre d'abord et philosopher ensuite ? Le raisonnement mathématique est-il seulement un raisonnement logique ? Ma liberté commence-t-elle où s'arrête celle des autres ? ». En quel sens peut-on dire que nos paroles nous trahissent ? Le temps peut-il « travailler pour nous » ? On dit souvent pour expliquer, ou même excuser, un comportement humain: « c'est naturel ». Quelle fonction attribuer à la connaissance scientifique dans l'entreprise philosophique ? Liberté, égalité, fraternité : y a-t-il un lien nécessaire entre ces trois exigences ? Suffit-il d'être doué pour être artiste ? L'histoire enseigne-t-elle la relativité des valeurs ? Peut-on penser l'histoire sans affirmer la liberté humaine ? Communiquer et informer, est-ce la même chose ? L'irrationnel est-il nécessairement absurde ? L'existence de l'inconscient est-elle une hypothèse ou une certitude ? L'amour de l'art est-il possible sans un savoir sur l'art ? Jet d'âme et un rejet, dame ! Définissez-vous comme Lucien Febvre le travail de l'historien : « Il part du présent et c'est à travers lui toujours qu'il connaît, interprète le passé ? Vivre selon des principes : est-ce une obligation morale ou une condition du bonheur ? L'art n'est-il qu'une imitation de la nature ? Est-il nécessaire d'être cultivé pour apprécier une oeuvre d'art ? Votre lien a été automatiquement intégré. Les guerres sont-elles un effet de la nature des hommes ? La tradition fait-elle obstacle à la liberté ? Sur ce, puisque tu sembles sur le point d'ériger une pensée profonde, je te souhaite une belle érection. Que faut-il en penser? Notre volonté ne peut-elle jamais s'associer à nos désirs ? Faut-il croire alors que les mathématiques ne sont pas « de ce monde » ? Les hommes font-ils librement leur histoire ? Peut-on concilier les exigences de la justice et celles de la liberté ? L'objectivité est-elle le privilège du discours scientifique ? La culture se contente-t-elle seulement de compléter la nature, ou se substitue-t-elle à elle ? Un objet technique peut-il devenir une oeuvre d'art ? L'attitude philosophique peut-elle être définie par la décision de ne jamais croire ? La loi limite-t-elle la liberté ou lui donne-t-elle les moyens de se réaliser ? La violence porte-t-elle toujours atteinte à la liberté ? La reproduction des oeuvres d'art nuit-elle à l'art ? Que signifie et que vaut l'expression : « juger en connaissance de cause » ? Autrui m'est-il révélé comme limite à ma liberté ou au contraire comme l'expression d'un autre mode d'être possible ? Le fait de parler la même langue institue-t-il entre les hommes des liens privilégiés ? Résister à la répression, est-ce un droit naturel ? Le sens de ce que l'on dit se réduit-il à ce que l'on veut dire ? La certitude de la mort condamne-t-elle l'homme au désespoir ? De quel droit, dans le domaine artistique, un homme peut-il s'ériger en connaisseur ? Expliquez et appréciez cette affirmation : « si l'on voulait définir les mots que l'on comprend le moins, il faudrait définir ceux dont on se sert le plus ». Juste elle-même. Suffit-il d'être conscient de ses actes pour en être responsable ? Ne doit-on tenir pour vrai que ce qui est scientifiquement prouvé ? ». Peut-on justifier une inégalité sociale ? A quoi reconnaît-on qu'une théorie est scientifique ? Peut-on penser philosophiquement la pluralité des philosophies ? La vérité est-elle différente de la réalité ? Pouvons-nous penser autrui autrement qu'à partir de nous-mêmes ? La duplicité de la conscience rend-elle inutile l'hypothèse de l'inconscient ? Y a-t-il un intermédiaire entre savoir et ignorer ? Est-il possible de mentir sans s'en rendre compte ? Cette émission, intitulée Qu'est-ce qu'une vie réussie?, est basée sur la séance du café philosophique de Montargis du 28 juin 2013 La richesse est comme l'eau de mer. Ce qui appartient à l'histoire est-il, par là même, inactuel ? Travail et liberté sont-ils compatibles ? Dans quelle mesure la création artistique est-elle l'oeuvre de l'imagination ? Savons-nous répondre à la question « Qu'est-ce que l'homme ? Sur quoi ma conscience morale fonde-t-elle sa légitimité ? Est-il juste de combattre la violence par la violence ? La contrainte est-elle toujours le contraire de la liberté ? Je connaissais pas ce mot, j'ai donc regardé sa signification. â Si quelquâun me disait « jâai réussi ma vie », je crois que je le verrais pour la dernière fois. Qu'est-ce qui peut nous pousser à aimer autrui ? Le travail de l'historien consiste-t-il à récrire le passé ? Pour ceux qui sâen-têtes dans votre direction, en supposant quâaprès études et recherches bien menées ils aient pu déterminer avec certitude lâutilité de ce poser une telle question, je dirai que réussir sa vie câest se dire quâon a La question : « Qu'est-ce que l'homme ?, est-elle la question fondamentale de la philosophie ? La connaissance de la vie d'un philosophe est-elle utile à la compréhension de sa philosophie ? La paix peut-elle s'accommoder de l'injustice ? L'usage de la raison est-elle une garantie contre l'illusion? Les oeuvres d'art nous enseignent-elles quelque chose ? La raison peut-elle être mise au service du mal ? La connaissance scientifique s'oppose-t-elle, ou non, aux croyances religieuses ? La connaissance de soi peut-elle être sincère ? Suffit-il de devenir le maître de ses pensées pour l'être de ses sentiments ? L'art fait-il perdre son temps ou le retrouver ? Une passion sans illusion est-elle possible? Faut-il accorder le moins possible à l'Etat ? Peut-on dire que le vrai est ce qui réussit ? Elle n'enseigne rigoureusement rien car elle contient tout et donne des exemples de tout. Quels droits la compétence donne-t-elle ? Dire que ce qu'ont en commun les êtres humains c'est leur capacité à se différencier les uns des autres, est-ce renoncer à définir l'homme ? La conscience de soi suppose-t-elle autrui ? La causalité dérive-t-elle de l'expérience ou en est-elle la condition ? L'Etat n'impose-t-il l'obéissance que par la force matérielle ? La politique peut-elle recevoir son principe de l'éthique ? L'histoire peut-elle se passer du récit ? » Pascal. Peut-on à la fois défendre la liberté de penser et disqualifier l'opinion ? Peut-on réduire la science à un ensemble de recettes qui réussissent toujours ? Peut-on être à la fois libre et passionné ? L'obligation morale peut-elle se réduire à l'obligation sociale ? Pour pardonner il faut comprendre; mais suffit-il de comprendre pour pardonner ? Les sciences de l'homme suffisent-elles à connaître l'homme ? Quel sens et quelle valeur peut-on accorder à l'expérience ? Quelle place la réflexion sur le vivant peut-elle accorder au hasard ? Le développement des sciences conduit-il à penser qu'il n'existe aucune vérité définitivement établie ? Peut-on comparer les mathématiques à un jeu ? La liberté consiste-t-elle à s'affranchir de toute autorité ? Peut-on se permettre de rejeter l'idée de vérité ? La liberté politique se réduit-elle au fait de pouvoir vivre tranquillement ? A chacun autant. Toutes les expériences scientifiques sont-elles légtimes ? Suffit-il de se sentir libre pour être libre ? La liberté peut-elle se définir comme la nécessité comprise ? En quel sens la connaissance scientifique peut-elle être un désenchantement du monde ? La raison rend-elle la vérité contraignante ? Peut-on caractériser la liberté comme « le pouvoir de dire non » ? L'idée de liberté est-elle compatible avec l'idée de loi ? Peut-on reprocher à la philosophie d'être inutile ? L'esprit reste-t-il libre quand il se soumet au vrai ? « Revenons à l'ancien, ce sera un progrès ». L'expression : « se libérer du passé » a-t-elle un sens ? L'efficacité des mathématiques confère-t-elle un pouvoir au mathématicien ? Y a-t-il une place pour la philosophie dans une société qui accorde toute sa confiance à la raison scientifique et à la réussite technique ? Peut-on légitimement instituer une langue universelle ? Qu'est-ce qui peut donner un sens au travail ? Les religions peuvent-elles être objet de science ? Le progrès scientifique a-t-il pour condition l'échec d'une technique ? On a dit souvent que la perfection n'était pas de ce monde. En réfléchissant sur la liberté, rencontrez-vous l'idée de destin ? Toute violence vise-t-elle l'asservissement ? Peut-on considérer l'idée d'ordre comme une des idées fondamentales de l'intelligence ? Faut-il préférer la révolte à la résignation ? La foi religieuse exclut-elle tout recours à la raison ? L'inégale puissance de travail des hommes est-elle source d'injustice ? Faut-il être spécialiste d'un domaine pour en juger ? Peut-on se satisfaire d'une telle assertion ? Est-il utopique de se vouloir citoyen du monde ? Une éducation des passions est-elle possible ? Quelle est l'importance de l'histoire pour la connaissance de l'homme ? pensez-vous qu'une telle question puisse être posée ? L'exigence de justice a-t-elle sa place dans les rapports économiques ? Dans quelle mesure les progrès que l'on fait dans l'acquisition du vocabulaire et dans la précision de son emploi peuvent-ils être considérés comme un enrichissement de l'expérience ? La pensée scientifique est-elle compatible avec l'idée de hasard ? L'art peut-il échapper au critère du beau et du laid ? Est-il nécessaire que l'histoire de l'humanité ait un sens pour que la vie d'un homme en ait un? Faut-il aimer la certitude pour rechercher la vérité ? Penser à la mort, est-ce pour vivre ou pour mourir ? L'homme a-t-il besoin de se faire des illusions ? Est-il juste d'affirmer que l'activité technique dévalorise l'homme ? Peut-on dire en toute rigueur qu'il existe une culture technique ? Peut-on dire que la vérité scientifique constitue une arme contre le fanatisme ? Etre libre, est-ce vivre comme on l'entend ? De quoi l'histoire des sciences est-elle l'histoire ? Les mots peuvent-ils rendre compte de la nature des choses ? Ce qui est imprévu était-il imprévisible? Peut-on comparer l'histoire de l'humanité à l'histoire d'un homme ? Toute limite rencontrée par l'homme est-elle un obstacle à sa liberté ? Les différents sens du mot « idéalisme » relèvent-ils d'une même notion ?
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